Législatives: au PS, la déroute d’un parti écartelé
Passer de 284 sièges en 2012 à 34 cinq ans plus tard: le Parti socialiste français a eu une semaine pour se préparer au choc, mais il reste aussi rude.


Passer de 284 sièges en 2012 à 34 cinq ans plus tard: le Parti socialiste français a eu une semaine pour se préparer au choc, mais il reste aussi rude. « La déroute du PS est sans appel », a reconnu ce dimanche soir le premier secrétaire du parti, Jean-Christophe Cambadélis, qui a également annoncé sa démission avant de lancer les pistes pouvant mener à une renaissance qui sera dirigée par une « direction collective qui va se mettre en place dans les plus brefs délais ».

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