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Protéger les jeunes des pubs pour la malbouffe, une stratégie marketing comme une autre

Le « Belgian Pledge » agrandit sa portée pour protéger les plus jeunes consommateurs des pubs pour les aliments gras, sucrés, salés. De la poudre aux yeux, estiment des acteurs de la prévention santé.

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Journaliste au service Economie Temps de lecture: 4 min

Chez nous, près d’un enfant et ado (2-17 ans) sur cinq est en surpoids. Et le phénomène, inquiétant pour la santé de ces futurs adultes, s’accentue sans cesse, malgré les campagnes de prévention des pouvoirs publics. En 2012, la Fevia (qui fédère l’industrie agroalimentaire belge), Comeos (la fédération de la grande distribution) et UBA (l’association des annonceurs) ont initié une autorégulation de la publicité pour les boissons sucrées et les aliments gras, sucrés et salés : pas question de cibler spécifiquement les moins de 12 ans, notamment dans des spots télé. Pas question non plus de communiquer dans les écoles du fondamental.

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1 Commentaire

  • Posté par stals jean, mardi 27 juin 2017, 20:35

    Et si on commençait par interdire purement et simplement les distributeurs de toute cette merde hyper sucrée hyper salée dans l’enceinte des établissements scolaires de quelques réseaux qu’ils appartiennent pour cause de salubrité publique. Le « pacte d’excellence » c’est aussi protéger les citoyens élèves de la mal-bouffe généralisée, boissons y compris, qui fait des ravages dans les cerveaux, ce qui est prouvé archi prouvé scientifiquement. Après avoir bouffé des sucres rapides, l’hypoglycémie qui s’ensuit provoque une somnolence qui rend impossible une attention soutenue. Mais il y va de l’équilibre budgétaire des écoles comme de l’équilibre budgétaire de l’Etat, la santé publique : rien à foute, rien de rien…le pognon d’abord. La santé publique au chiotte, s’il pouvaient les distributeurs de cigarettes joiuxteraient les distributeurs de coca-cola dans les écoles…j’exagère à peine…

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