Migrants en mer: la France et l’Espagne sollicitées pour soulager l’Italie
Après la menace italienne de refuser l’entrée de ses ports aux bateaux des ONG, les 28 s’affairent pour trouver une solution : il est toujours question de sauver les migrants, mais aussi le gouvernement italien.


Depuis Tallinn (Estonie)
Il en va des présidences semestrielles européennes comme des traversées à la voile. On part avec un cap, un calendrier et un programme minutieusement préparés. Puis les événements imprévus en haute mer obligent parfois à reconsidérer la route, voire à terminer dans un autre port que prévu. L’Estonie reprend ce 1er juillet pour six mois le pilotage des travaux ministériels des 28 en mettant en avant un thème majeur, qui est devenu le trait d’identité de ce petit pays balte de 1,5 million d’habitants : la société digitale et l’e-gouvernement, dont ses dirigeants vont se faire les apôtres dans le reste de l’UE.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
La France et l'Espagne ? et pourquoi pas le Luxembourg ???
ce ne serait pas plus sain économiquement et d'un point de vue sécuritaire de faire un tri sévère parmi ces soi-disant réfugiés et de renvoyer chez eux ceux qui présentent un danger et virer ceux qui ne viennent pas dans un but réellement humanitaire ? L'économie réalisée permettrait d'aider ceux qui en ont réellement besoin.