Gilles de Kerchove: «Il faut former les citoyens contre la radicalisation»
Le coordinateur européen de la lutte contre le terrorisme estime qu’il faut développer un contre-discours pour réduire l’influence des groupes terroristes.


Trois ans après la proclamation de son « califat », l’Etat islamique est en passe de s’effondrer en Syrie et en Irak. Mais son pendant virtuel, lui, continue à infester le web de propagande djihadiste et de contenus radicaux. Et à menacer nos sociétés.
Confrontée à un phénomène criminel en pleine mutation, quelles réponses l’Union européenne peut-elle encore apporter ? Elle qui jusqu’ici, s’est surtout évertuée à renforcer le contrôle aux frontières, notamment à travers le PNR, à lutter contre le financement du terrorisme et à gérer la problématique des returnees, se retrouve aujourd’hui confrontée à la montée d’un extrémisme endogène, lowcost et plus imprévisible.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Ayant travaillé aux Etangs-Noirs, j'en sais plus que vous sur la manière d'aborder les têtes brûlées et les psychopathes. Premièrement, ne pas jouer aux allumettes et tenter le diables,...