Crise politique: les cinq raisons qui font hésiter Ecolo
Chez les verts, réformer le système démocratique est un préalable. Mais faut-il y aller (dans les majorités) ou pas ? Même si rien n’est tranché, plusieurs éléments plaident en défaveur d’une participation.


Faisant fi de l’injonction du MR d’accélérer le tempo, le bureau politique d’Ecolo a confirmé ce lundi le mandat de ses coprésidents : « Poursuivre les discussions visant à assainir les pratiques politiques et à refonder la démocratie ». Avec une deadline, elle aussi répétée : le 21 juillet. Mais quand bien même le tandem écologiste obtiendrait une avancée sur la gouvernance, il n’est pas acquis que le parti entrerait dans des majorités fédérées.
Plusieurs éléments expliquent ces réticences.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Je sens que progressivment mon coeur se re-tourne vers écolo qui me semble, pour l'instant, le parti le plus cohérent et congruent. Le gouvernement fédéral peut démissionner, cela fera plus d'un heureux et avoir des garanties de changements en profondeur pour retrouver une démocratie plus démocratique, c'est plutôt encourageant.