Comment le tourisme d’hyper-luxe bâtit ses succès
Dormir sur le toit du monde ou nager avec les baleines ? Des « designers » de voyages vous l’organisent. Au programme, presque tout est permis. Seule exigence, le prix doit être le dernier critère pour choisir quoi faire.


Quel est le lien entre le Sri Lanka, le Costa Rica, la Colombie, l’Equateur, le Myanmar, le Bhoutan, les Fidji, Cuba et l’Islande ? Un métal précieux dans le sous-sol ou une nouvelle espèce de tigre ? Vous donnez votre langue au chat ? Ce sont les destinations « dans le vent » des clients des agences de voyages regroupées dans un label, « Traveller made », soit les agences qui ciblent l’hyper-luxe. Ce ne sont d’ailleurs pas des agences au sens traditionnel du terme mais des entreprises qui mettent sur le marché un produit qui comporte du voyage… mais pas seulement. Vous pourrez demander d’explorer la banquise, de dormir au-dessus des arbres dans une réserve naturelle, de vous réveiller dans un authentique temple en Inde, de visiter un musée fermé en compagnie d’un des plus rares spécialistes des objets conservés. Le ciel est la limite et si chaque « agence » a sa spécialité, rares sont celles qui diront non a priori à une envie ou à une demande.

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