Taxe tampon: pourquoi ça bloque
Test-Achats et le collectif Belges et Culottées ont envoyé un courrier aux ministres des Finances et du Budget ainsi qu’au Premier ministre pour s’étonner du peu d’avancées autour de l’abaissement de la TVA sur les produits d’hygiène féminine.


En décembre dernier, ça semblait plié : après avoir déposé une proposition le 27 octobre, le ministre des Finances, Johan Van Overtveldt (N-VA) annonçait la fin de la « taxe tampon », soit une diminution de la TVA sur les produits d’hygiène féminine tels que les tampons, serviettes et coupes menstruelles. Le collectif féministe « Belges et Culottées » se réjouissait de la fin de cette discrimination taxatoire, qu’il avait appelée de ses vœux avec une campagne, des manifestations et une pétition : « Le gouvernement reconnaît enfin que les produits menstruels ne sont pas optionnels et qu’ils doivent être taxés comme tels. La fin de la taxe tampon représentera environ 1.500 euros d’économies sur la vie d’une personne. Mais c’est surtout une mesure symbolique forte. »

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Marrant, au départ TVA voulait dite taxe sur la valeur ajoutée, mais au fil des années elle en a perdu sa signification, au sens propre quelle est la valeur ajoutée d'un tampon, on va me dire que le produit part de 0 € et est fabriqué pour être vendu par ex 10 € c'est cela ce qu'est devenu la valeur ajoutée