Julian Assange au Soir: «Les services de renseignement traitent les journalistes comme des espions»
Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, sera lundi l’invité très spécial du Festival des Libertés, au Théâtre National. Nous l’avons interrogé sur la meilleure manière de protéger les « lanceurs d’alerte ».


En dix ans, les lanceurs d’alerte ont gagné leurs titres de noblesse. Qu’ils se nomment Manning (Cablegate), Snowden (espionnage de masse de la NSA) ou Deltour (LuxLeaks), ils sont devenus des piliers de la résistance démocratique. Mais les lois les défendent insuffisamment, et les médias qui les relaient n’utilisent pas toujours les technologies nécessaires pour protéger leur anonymat. Toujours réfugié à l’ambassade d’Équateur à Londres, le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, sera ce lundi soir l’invité du Festival des Libertés pour débattre en duplex de « Transparence politique et protection de la vie privée ». Nous lui avons demandé quelles étaient les urgences dans la protection des lanceurs d’alerte.
En matière de protection des lanceurs d’alerte, où est l’urgence ? Doit-on améliorer d’abord les lois ou les technologies ?

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