Mehdi Bayat au «Soir»: «J’ai le sens des affaires, c’est dans nos gênes»
Mehdi Bayat fêtera en septembre ses 5 ans à la tête du Sporting de Charleroi. Le « play-boy est devenu à 38 ans l’incontournable du foot belge. La clé du mystère se trouve en Iran.


Mehdi Bayat a été longtemps pris pour un playboy, une sorte de Mike Brant du football belge. Grave erreur. En septembre, cela fera 5 ans qu’il a repris un Sporting de Charleroi moribond, pour en faire le premier club wallon, le manager d’Anderlecht voit en lui son successeur et les Flamands lui mangent dans la main, sans qu’il soit (encore) bilingue. A la Fédération, c’est ce jeune manager de 38 ans qui a dit à Marc Wilmots de quitter les Diables rouges, désignant dans la foulée Roberto Martinez. Certains le voient très vite entrer en politique. Mais qu’est-ce qui a bien pu faire de ce « jetsetteur » de la Côte d’Azur, issu d’un clan Bayat très controversé en Belgique (via son oncle Abbas ou son frère Mogi), un entrepreneur avisé et surtout très respecté ? Plongée dans la vie de l’intéressé, avec l’aide de ses parents qui vivent toujours en Iran.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Trop vite écrit... Il faut parfois se relire .... 15 points en 3 matchs...
Trop vite écrit... Il faut parfois se relire .... 15 points en 3 matchs...
Hé ben, beaucoup de tout, mais pour la modestie, peut mieux faire....