Il y a cinquante ans, la Californie vivait sa lune de miel hippie tout au long de ce que l’on a nommé le « Summer of love ». Cinq jours durant, nous vous racontons ce drôle d’été 67 plein de rêves, de promesses et d’amères désillusions. Voici le premier volet.
Article réservé aux abonnésPar JÉRÔME ESTEBE («La Tribune de Genève»)
Temps de lecture: 6 min
Haight-Ashbury, c’était un quartier bien pépère du centre de San Francisco, hérissé de maisons victoriennes plus ou moins délabrées et peuplé de blancs de la classe moyenne. Un quartier sans histoire, limite ennuyeux, qui va devenir en quelques mois l’épicentre de la contre-culture mondiale. Le berceau du flower power. Le lieu le plus cool du cosmos, où il faut absolument être. En 1967, quelque 100.000 hippies venus des quatre coins des États-Unis, mais aussi du Canada, d’Angleterre, voire du Japon, y convergent pour un été totalement dingue. Un été qui va changer la face de la culture mondiale.
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Ce vendredi au Capitole Andy Kim élu démocrate du New Jersey a vu quelques collègues républicains faire des bonds de cabri, s’enlacer et échanger des «
high five
» (tapes de la main). La Cour suprême venait d’abroger le droit constitutionnel à l’avortement.
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