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Willy Borsus, le nouveau ministre-président wallon: des champs à la politique

Le MR offre à la Wallonie un ministre-président qui semble l’antithèse de son prédécesseur, Paul Magnette.

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Journaliste au service Politique Temps de lecture: 3 min

Avec le Condruzien Willy Borsus, le MR offre à la Wallonie un ministre-président qui semble l’antithèse de son prédécesseur. Paul Magnette était sec, avare de paroles, intellectuel de haut vol et citadin. Willy Borsus est affable, volubile, très pragmatique et rural, tellement rural. Avec lui, c’est une ministre-présidence aux champs qui s’ouvre. Ce n’est pas pour rien si le ministre fédéral comptait l’agriculture dans ses compétences préférées.

Le libéral a passé sa vie dans les belles campagnes du sud de Namur. Il est né dans une famille d’agriculteurs et ne s’est jamais départi d’une grande passion pour la nature et l’environnement. On dit qu’il a du mal à s’éloigner de son fief de Somme-Leuze, la petite commune qu’il dirige depuis une vingtaine d’années, mais où il avait dû se résoudre à démission du mayorat.

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4 Commentaires

  • Posté par Pahaut Laurette, jeudi 27 juillet 2017, 8:07

    Il a fait ses études à l'IESN de Namur. Il n'a donc pas fait une license - cet établissement n'étant pas universitaire n'en délivre pas - mais un baccalauréat en droit, anciennement nommé graduat.

  • Posté par Malka Pierre, mercredi 26 juillet 2017, 11:36

    Vu son âge, il n'est pas possible qu'il ait fait un "bachelier" en droit. Il a surement fait une license, ce qui était nécessaire pour accéder au barreau. Aujourd'hui c'est un master, pas un bachelier ! Ce n'est pas pareil et même condescendant.

  • Posté par bernard delpierre, mardi 25 juillet 2017, 14:45

    Au fond ce qui soulève l'impatience des députés, ce n'est guère l'avenir de leur région pourtant en butte prochaine à des équations économiques et budgétaires quasiment insolubles avant l'assèchement total des transferts nord/sud, mais la prise de vacances comme si c'était la question fondamentale pour des gens ne souffrant pas du dos en raison de la dureté de leur travail par ailleurs fort bien rémunéré et souvent générateur de revenus annexes.Cette réaction lamentable est à l'image d'une société qui a déjà dépensé le capital engrangé par le travail dur des génération passées et qui va léguer un fardeau de dettes insoutenable à la génération qui entre sur le chemin du travail quand il s'en trouve...

  • Posté par Dopchie Henri, mercredi 26 juillet 2017, 11:54

    Alambiqué mais correct.

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