L’autre «F1 silencieuse» repart à Pékin
Alors que Hamilton coiffera peut-être sa troisième couronne ce week-end à Austin, la « F1 verte » entame sa deuxième saison. Pour montrer que l’auto de demain peut être propre et sportive.


Pékin. Quelle « plus belle » ville pour lancer, dans ce coin de planète qui reste l’un des plus pollués au monde, un championnat automobile qui se veut « plus blanc que blanc » ? C’est le choix qu’avaient opéré les promoteurs de la Formula E, comme « Electrique », l’an dernier. Une nouvelle compétition ouverte à des monoplaces au look de petites F1 – mais aux performances certes bien moins impressionnantes – mues par tout ce que l’industrie automobile tente de développer pour (se) donner une image propre, et surtout pour afficher ses dernières trouvailles dans le domaine des nouvelles énergies. Pas étonnant, dans ce contexte, que le président de la FIA Jean Todt ait multiplié ses apparitions en marge de ces courses organisées pour la plupart dans de grandes villes (Buenos Aires, Paris, Berlin, Moscou, Londres, etc.) et surtout le plus au centre de celles-ci, histoire de rencontrer un nouveau public.
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