Etudes de médecine: plus de 4.500 candidats inscrits à l’examen d’entrée
Les inscriptions sont permises jusque ce mardi à 23h59.

Un peu plus de 4.500 candidats se sont inscrits à l’examen d’entrée aux études de médecine et dentisterie, indique mardi l’Académie de recherche et d’enseignement supérieur (Ares). Les étudiants désirant entamer des telles études doivent passer cet examen obligatoire prévu le 8 septembre prochain. Le nombre d’inscrits devrait encore augmenter, les inscriptions étant permises jusqu’à 23h59 ce mardi.
Parmi les candidats inscrits, un peu plus de 3.500 ont payé les frais d’inscription obligatoires de 30 euros, qui seront remboursés après participation effective à l’épreuve. Pour les autres, «si la somme n’est pas versée sur le compte pour le 10 août, leur inscription ne sera pas validée», souligne l’Ares.
Les étudiants qui obtiendront leur attestation de réussite pourront entamer leurs études d’une durée de six ans. En 2023, soit l’année de leur diplôme s’ils réussissent chaque année, 1.445 numéros Inami seront délivrés, dont 607 pour la Fédération Wallonie-Bruxelles et 838 pour la Communauté flamande.
► Le site pour les inscriptions ici
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Posté par stals jean, mardi 1 août 2017, 13:49
Plus de commentairesPetit commentaire en marge de cet article. je viens de prendre connaissance des matières imposées à cet examen d'entrée, bien nécessaire parait-il, afin d'éviter le carnage qui décime les rangs de celles et ceux qui se retrouvaient en fin de première médecine. Sur 4500 postulants combien réussiront cet examen d'entrée? Alea jacta es... Une chose est bien certaine, les études secondaires actuelles, même et surtout celles qui délivrent le diplôme qui ouvre les portes des Universités sont conçues pour que les enfants des "riches" s'en sortent, alors que les enfants, disons; des "autres", se retrouvent, exceptions faites de ceux la que l'on qualifie de "HP" (haut potentiel), sur le carreau...A ce constat, un autre constat n'est pas moins dramatique; ceux des parents "démissionnaires" mais qui ont les moyens financiers de payer des cours sup à leur guindailleur et faignasse de rejeton, alors que les parents des "pauvres" ne le peuvent pas. Et ce constat sera valable pour toute la durée des études universitaires. Autre chose, ceux qui vont rater cet examen d'entrée font peut-être et aussi bien partie de ceux qui une fois le pied à l'étrier deviendraient au fil des années, la maturité technique et psychologique aidant, les meilleurs de leurs professions, alors que d'autres qui auront réussi cet examen d'entrée (avec ou sans piston) passeront leur vie à trahir pour mille et une raisons , le bien rigolo par les temps qui courent, serment d'Hippocrate...