Crise du fipronil: l’Europe savait-elle plus tôt? Elle s’en défend...
Si un canal de communication européen a été utilisé par la Belgique pour interroger les Pays-Bas le 6 juillet, ce n’est bel et bien que le 20 que l’alerte officielle a été donnée et répercutée en Europe.


Gérer la crise, tirer ensuite les leçons, mais ne pas se livrer au petit jeu des reproches mutuels. Tel était, en substance, le message de la Commission européenne, ce jeudi, au lendemain de la charge lancée par les autorités belges en direction des Pays-Bas, après s’être elles-mêmes trouvées dans le collimateur de l’Allemagne. « Les Etats membres ont la responsabilité première pour la conduite des enquêtes et la décision des mesures appropriées », a rappelé un porte-parole, mais la Commission est « prête à engager avec les Etats membres une discussion au niveau politique, au Conseil, pour voir comment améliorer le système » européen d’échange d’informations. Les ministres européens de l’Agriculture se retrouvent d’ailleurs en session « informelle », le 3 septembre.

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