Attentats de Catalogne: l’énigme de l’imam de Ripoll

L’imam a séjourné deux mois en Belgique. Les autorités espagnoles le suspectent d’avoir embrigadé certains membres du réseau terroriste.

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L’endroit habité par l’imam Abdelbaki Es Satty. ©AFP

Journaliste au service Société

Par Ludivine Ponciau

Publié le 20/08/2017 à 21:28 Temps de lecture: 4 min

Alors que l’Espagne observait ce dimanche son troisième jour de deuil national en hommage aux victimes de Barcelone et Cambrils, le responsable des affaires intérieures en Catalogne, Joaquim Forn, a annoncé que la police avait « neutralisé » la cellule terroriste, bien qu’un de ses membres soit toujours en fuite. En effet, onze des douze hommes (photos ci-dessous) qui auraient préparé et exécuté l’opération terroriste menée jeudi dernier sur l’artère commerçante de Barcelone et dans la station balnéaire plus au sud, ont été soit arrêtés soit abattus par Les Mossos d’Esquadra ou ont péri dans l’explosion de l’habitation ayant servi à préparer des explosifs en vue d’un attentat de plus grande ampleur.

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2 Commentaires

Posté par bernard delpierre, lundi 21 août 2017, 15:40

Il y a aussi une constante chez les terroristes, c'est leur grande capacité financière à voyager d'un pays à l'autre alors que le reste du temps, ils ne travaillent pas . Nos pays sont non seulement laxistes dans l'octroi d'avantages sociaux mais de plus ils ne réagissent que trop tardivement (généralement après coup) à l'incroyable inadéquation entre les ressources identifiées de ces personnes et leur train de vie de pigeon voyageur en première classe.

Posté par Stenuit Fernand, lundi 21 août 2017, 21:26

Excellente analyse . A l'heure de l'informatique , tout cela pourrait ètre anticipé . Mais Frère Jacques dort , les problèmes de politicailles sont semblent-ils plus importants .

Posté par bernard delpierre, lundi 21 août 2017, 15:40

Il y a aussi une constante chez les terroristes, c'est leur grande capacité financière à voyager d'un pays à l'autre alors que le reste du temps, ils ne travaillent pas . Nos pays sont non seulement laxistes dans l'octroi d'avantages sociaux mais de plus ils ne réagissent que trop tardivement (généralement après coup) à l'incroyable inadéquation entre les ressources identifiées de ces personnes et leur train de vie de pigeon voyageur en première classe.
Posté par Stenuit Fernand, lundi 21 août 2017, 21:26

Excellente analyse . A l'heure de l'informatique , tout cela pourrait ètre anticipé . Mais Frère Jacques dort , les problèmes de politicailles sont semblent-ils plus importants .