La Fontaine, côté cour, côté jardin
Cela fait 350 ans que ses fables lutinent et butinent en nos chaumières, en proposant de nous raconter les mille sentiers de la comédie humaine, celle des rats des villes et des rats des champs.


Des fables, Jean de La Fontaine en écrivit 243, aussi courtes qu’évidentes et juteuses, telles des pommes, des poires ou des pêches tombant de son verger littéraire. En une vingtaine de lignes à peine, cigale et fourmi, corbeau et renard, grenouille et bœuf y réussissaient le prodige de former une ménagerie humaine, qui révélait nos candeurs, nos ruses ou, le plus souvent, nos vanités.
C’est à cet immortel qu’Erik Orsenna consacre aujourd’hui son dernier ouvrage. On y fait la rencontre d’un homme qui, bien avant les honneurs posthumes et cette popularité qui devint rapidement universelle, s’avança dans l’existence en homme pétri de contradictions.

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