73 cas de signe de radicalisation dans les écoles francophones l'an dernier
Une école flamande a fait état d’éléments de radicalisation chez des élèves de maternelle. Du côté francophone, aucun cas n’a été relevé en maternelle mais l’équipe mobile de l’administration de l’enseignement a été sollicitée pour les primaires et secondaires.


Une école de Renaix, en Flandre orientale, s’est inquiétée de signes de «
► Des signes de radicalisation détectés chez les enfants d’une école maternelle en Flandre
Du côté de l’enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles, une équipe mobile existe depuis des années et se rend dans les écoles lorsque celles-ci ne savent comment résoudre une situation grave de violence, de harcèlement, etc. Depuis début janvier 2015, les missions de cette équipe ont été élargies à la radicalisation violente. Six agents de cette équipe ont été formés à ces questions. Le service intervient à la demande d’un chef d’établissement ou du gouvernement.
5 interventions dans le fondamental
Sur l’année scolaire 2016-2017, cette équipe mobile a été sollicitée à 73 reprises par des établissements scolaires inquiets face à des éléments de radicalisation chez certains élèves et ce, sur un total de 2.149 dossiers, tous motifs confondus. Seules cinq interventions ont eu lieu dans le fondamental. Aucun cas n’a été relevé dans des classes de maternelle.
« On peut nous contacter pour des éléments semblables à ce qui est décrit dans ces classes de maternelle », explique Anne Hellemans, directrice générale adjointe de l’administration générale de l’enseignement. « Des propos déplacés d’élèves, des remarques, des jeunes qui se renferment, qui ne viennent plus à l’école, des débats qui tournent mal, des classes qui se polarisent, voire des craintes quant au départ prochain d’un élève pour la Syrie. Parfois, ce sont des parents qui interpellent l’établissement. »
Lorsqu’un chef d’établissement fait appel à l’équipe mobile, deux agents se rendent sur place. Une « cellule non permanente d’évaluation et de prise en charge » est alors mise en place. L’objectif est principalement d’outiller l’équipe éducative de l’école à faire face à ce type de situations. Parfois, l’équipe mobile rencontre aussi les parents du jeune, mais c’est loin d’être systématique. La durée de l’intervention varie fortement en fonction des cas et des écoles. Dans une dizaine de cas sur les 73 dossiers ouverts, « les inquiétudes n’ont pas pu être levées », explique Anne Hellemans. L’aide à la jeunesse et/ou la police ont alors été impliquée(s).
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Posté par Stenuit Fernand, lundi 21 août 2017, 17:01
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Posté par Stenuit Fernand, lundi 21 août 2017, 16:53
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Posté par Etienne Van den Eeckhoudt, lundi 21 août 2017, 14:59
Plus de commentairesLe musulman ne conçoit pas la religion de la mème façon que nous . L'Islam , est l'Etat et la Religion . Cette religion lui commande de former, partout ou il réside , un état musulman . Ils nous conquèreront par le nombre . Et pour les plus pressés , ce sera par la force.
La radicalisation est propre à tout musulman . Leur religion le leur commande expressément . Tout musulman doit ètre un prédicateur de sa religion . Et cette religion n'est pas celle d'un enfant de choeur ..D'ailleurs ,Mohamet était un général de guerre qui a guerroyé des ans pour conquérir LaMecque , avant d'écrire ses préceptes .
Si des enfants sont radicalisés en maternelle c'est que les parents sont radicalisés. Les autorités ont le devoir d'assurer la sécurité des habitants du royaume. A eux de trouver des solutions et de prendre les décisions adéquates.