Even lovers get the blues Portrait dans l’air du temps


Nos relations aux autres définissent-elles les personnes que nous sommes ? À l’heure d’une liberté sexuelle clamée de plus en plus fort, sommes-nous réellement libres ? L’amour, la vie, la mort : voilà les thèmes centraux d’Even Lovers Get the Blues, premier long-métrage du Belge Laurent Micheli.
Avec volupté, le réalisateur formé à l’Insas et à la Fémis filme un groupe de trentenaires, leurs déboires, leurs expériences de vie. Il montre les corps nus sans pudeur, comme pour mieux parler des expériences sexuelles et sentimentales qui définissent selon lui pleinement les êtres que nous sommes (« Dis-moi comment tu baises et je te dirai qui tu es », résume-t-il d’ailleurs dans sa note d’intention).

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