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Laszlo Nemes raconte «Le fils de Saul»: «On a dû passer par la mort de l’âme»

Grand Prix du Festival de Cannes 2015, « Le fils de Saul » raconte l’horreur des camps de l’intérieur. Un magistral coup de poing et une œuvre essentielle . Son réalisateur livre ses intentions.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 7 min

De nationalité hongroise, le jeune Laszlo Nemes débarque dans le cinéma avec un film coup de poing qui plonge le spectateur au cœur de l’enfer des camps de concentration. Ayant perdu une partie de sa famille à Auschwitz, Laszlo Nemes avait particulièrement à cœur de raconter ce pan de l’Histoire.

Mais parler de l’enfer des camps est toujours périlleux. Le jeune Hongrois, qui s’est inspiré notamment d’un livre de témoignages publié par le Mémorial de la Shoah, Des voix sous la cendre, en fait pourtant le sujet de son premier film. Qui rafla le Grand Prix du jury à Cannes et fut salué par Claude Lanzmann comme l’anti-Liste de Schindler.

Votre film happe le spectateur au cœur de l’enfer grâce à un travail exceptionnel sur le son. Pouvez-vous nous en parler ?

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