Samusocial: les fonctionnaires dénonçaient le «régime de terreur» de Peraïta, selon Grouwels
Le cabinet du ministre-président bruxellois a, en outre, été mis sous pression par la direction du Samusocial.

La direction du Samusocial a fortement mis le cabinet du ministre-président bruxellois sous pression pour éviter l’envoi d’un observateur au sein de l’ASBL. Sans cela, le gouvernement aurait pu aller beaucoup plus loin dans le contrôle. Le PS n’agissait toutefois pas comme un seul homme dans ce dossier. Tel est le point de vue développé mardi par l’ex-ministre bruxelloise Brigitte Grouwels (CD&V), devant la commission d’enquête Samusocial du parlement bruxellois.
«Le Samusocial adoptait un style très agressif pour obtenir à chaque fois de nouveaux subsides», a-t-elle commenté.
D’après l’ex-ministre, l’administration de la CCC n’était pas pressée d’exercer un contrôle - que son cabinet et celui de Mme Huytebroeck voulaient accroître sur l’utilisation des deniers publics par l’ASBL -, parce que l’association était de type privé, mais aussi en raison du «tempérament» de Pascale Peraïta dont certains fonctionnaires dénonçaient le «régime de terreur».
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