Médecine: 7 solutions pour combattre la pénurie
Ce vendredi matin a lieu le premier examen d’entrée pour les études de médecine. Pourtant, des poches de pénurie sont constatées. Quelles solutions pourraient être utilisées ?


Ce vendredi matin, dès 7h, les portes des palais du Heysel s’ouvrent pour laisser la place aux 4.200 candidats aux études en médecine et en dentisterie. Seul un examen réussi, avec un minimum de 8/20 à chacune des 8 matières et une moyenne de 10/20 à chacune des deux parties de l’examen, permet de s’inscrire ensuite dans une des universités francophones pour suivre les cours de la première année de médecine et de dentisterie. C’est une première en Communauté française, calquée sur l’examen organisé en Communauté flamande depuis 1997. L’objectif affiché est de diminuer le taux d’échec, le réel de diminuer le nombre de diplômés qui, dans six ans, pourront prétendre à un numéro Inami pour entamer leur spécialisation. Cette épreuve est contestée, puisqu’en même temps les experts de la Commission fédérale de planification montrent qu’en se limitant à environ 600 numéros Inami francophones, on aura perdu dans 20 ans la moitié de la force de travail des généralistes.

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