Poutine refuse les sanctions contre la Corée du Nord
Le chef du Kremlin et ses homologues Abe et Jae-in ont été loin de faire front commun sur les réponses à apporter aux « provocations » de leur voisin commun.

Depuis Valdivostok
Construire un pont avec le Japon et prolonger la ligne ferroviaire du transsibérien jusqu’en Corée du Sud : pour se rapprocher de ses nouveaux alliés asiatiques, Vladimir Poutine veut voir grand. Cette semaine, au forum économique de Vladivostok, vibrante capitale de l’extrême orient russe, le chef du Kremlin a multiplié les initiatives envers ses deux hôtes d’honneur : le Premier ministre japonais Shinzo Abe et le président sud-coréen Moon Jae-in. Pour mobiliser les investissements et relancer cette région longtemps négligée par Moscou. Mais aussi pour, en pleine tension avec les Occidentaux sur l’Ukraine et la Syrie, symboliser le virage à l’est du Kremlin.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Mr Poutine, ouvres les yeux, ils mangent déjà de l'herbe, et avec toi, c'est pas près de s'arranger...
Quand le tsar Poutine se fait l'allié du gros bébé joufflu !!!