Orphelins de Joëlle Milquet, les centristes bruxellois se sentent délaissés par Lutgen
« Putsch », « jeu des adversaires » : les commentaires des CDH de la capitale traduisent un réel malaise.


C e n’est pas la fin de l’histoire, c’est le début d’une nouvelle histoire. On va l’écrire ensemble ». Dans les oreilles de certains CDH bruxellois, cette dernière phrase tirée du discours prononcé samedi par Benoît Lutgen, résonne étrangement. « Depuis le début, on n’a jamais été consulté », déplore l’un d’eux.
L’aile bruxelloise de la famille centriste est mal. « Le choix de rompre avec le PS était un choix essentiellement wallon, tacle un élu local. Benoît Lutgen a vu qu’il pouvait faire une majorité avec le MR. La réalité bruxelloise n’a pas été prise en compte et les élus de terrain n’ont pas été consultés ». Et à en croire le baromètre de cette fin de semaine (Le Soir de vendredi), l’esquif battant pavillon orange approche désormais dangereusement des récifs du seuil électoral : 5,8 %.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Très bon le journal électronique j'espère que je trouve qu'est-ce que je cherche
Si cela continue on va plaindre madame qui n'en faisait qu'à sa tête