Un rapport sème le doute sur la sûreté de Doel 3 et Tihange 2
Les « microbulles » présentes sur les cuves de ces deux réacteurs pourraient grandir avec le temps.


On pensait qu’il n’y avait plus que les Allemands et les Néerlandais pour s’inquiéter de la santé de Doel 3 et Tihange 2. Les deux réacteurs nucléaires « microbullés », qui ont été mis à l’arrêt forcé près de trois ans car leur cuve présente des milliers de défauts. Mais voici que deux ingénieurs de la KU Leuven viennent à nouveau semer le doute.
Fin 2015, après de longues études tout à fait inédites, l’Agence de contrôle nucléaire (AFCN) a fini par conclure que ces défauts dans la cuve ne remettaient pas en cause l’intégrité des réacteurs. Et qu’ils n’évoluaient pas avec le temps. Bref, que les deux unités pouvaient recommencer à produire de l’électricité sans problème, au grand bonheur d’Electrabel.
Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
"aucun précédent dans la littérature scientifique...". Et pourquoi les ingénieurs belges ne pourraient ils être les auteurs d'une telle étude? Pourquoi faudrait il discréditer l'étude d'ingénieurs belges parce qu'il s'agit d'une situation inédite? Manque de confiance dans la Belgique?
L'argent de certains, notre mort à tous...
Pourquoi réagir quand on n'y connaît rien? Ce qui est exagéré est insignifiant.