Isabelle Durant: «La mondialisation n’est pas le monster to kill»
La Cnuced présentait son premier rapport à l’attention des Etats-membres. Objectif : faire comprendre que la mondialisation, ce n’est pas la concentration des richesses aux mains d’une toute petite minorité.


Aujourd’hui vice-présidente de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced), un organisme des Nations unies, Isabelle Durant, ancienne présidente d’Ecolo, a montré qu’elle n’avait pas remisé ses combats au placard en présentant pour la première fois le rapport 2017 sur le commerce et le développement. Le titre était ronflant – « Au-delà de l’austérité, vers une nouvelle donne mondiale », mais son exposé, ainsi que celui d’un des économistes de la Cnuced auteur du rapport, Alex Izurieta, beaucoup moins. Car en une heure, montre en mains, les deux acteurs du jour ont relevé le défi de cerner les enjeux et défis de l’économie mondiale. Laquelle ne se porte pas si bien que ça.

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