Jacqueline Galant, la ministre qui voulait être populaire
Après un an à la tête des matières de mobilité, le bilan de Jacqueline Galant est maigre.

Après seulement un an, un bilan est difficilement complet, justifié, équilibré. Un an, dans la carrière d’un ministre, c’est à la fois très court et très long. Ça n’empêche pas de comparer la feuille de route que la majorité a écrite avant la composition du gouvernement, avant même que les ministres ne sachent qu’ils le seront, et le chemin parcouru par l’excellence qui a reçu ces matières en charge.
Pour Jacqueline Galant, l’objectif déclaré du maroquin ministériel est avant tout un tremplin pour atteindre une popularité fédérale, avec Maggie De Block comme exemple assumé. Aujourd’hui rares sont ceux qui ne connaissent pas la ministre de la mobilité, côté francophone. Et en partie côté néerlandophone puisque, hyperprésente sur le terrain, on l’a plus vue démontrer sa volonté de suivre des cours et de parler néerlandais que d’apprendre à parler le langage des syndicats.

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