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Défis costauds pour la Belgique au Conseil des droits de l’homme

La Belgique a été élue pour siéger pendant 3 ans au Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève. Une bonne nouvelle, car le Conseil, où siègent aussi de très mauvais élèves, a besoin de membres volontaristes pour faire avancer les droits humains.

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Journaliste au service Monde Temps de lecture: 3 min

Alors que la Belgique est en campagne pour obtenir un siège au Conseil de sécurité de l’ONU pour 2019-2020, notre pays a été élu mercredi soir pour siéger de 2016 à 2018 au Conseil des droits de l’homme. Un vote sans beaucoup de suspens : il y avait trois candidats – Belgique, Allemagne, Suisse — pour trois postes à pourvoir pour le groupe Europe occidentale. Mais une bonne nouvelle pour notre diplomatie. Et pour les défenseurs des droits humains, qui apprécient globalement le travail mené par la Belgique pour défendre les droits humains dans le monde, et notamment ses efforts pour obtenir l’abolition de la peine de mort.

La Belgique a déjà siégé de 2009 à 2012 au sein de ce Conseil qui compte 47 membres : le dynamisme de la représentation belge avait été très apprécié.

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