Jeff Mills : «Je me plonge dans le film»
Le pionnier de la techno Jeff Mills est un habitué des UFA Film Nights. Après avoir fait la bande-son de Metropolis, il fera celle de Paris qui dort de René Clair à Bozar. Rencontre à Berlin.


Vous aviez déjà habillé musicalement « Metropolis » en 2000. Quelle différence y a-t-il avec cette nouvelle partition ?
C’est une partition tout à fait nouvelle, indépendante de la première. Il y a de nombreuses scènes dans cette version restaurée du film. En tout, j’ai composé près de 200 tracks, soit neuf heures de musique. J’en ai gardé cinquante-six. J’ai regardé le film un nombre incalculable de fois, je composais devant les images, puis sans, à tel point que je connais le film par cœur. C’est le même processus pour « Paris qui dort ».
Durant le concert, avez-vous de l’espace pour improviser ?

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