Les municipales reportées en Tunisie: un mauvais signal
Attendues depuis la révolution de 2011, les élections municipales n’auront pas lieu en décembre. Plusieurs partis politiques et d’abord celui du président Essebsi ne sont pas prêts à affronter l’échéance.


C’était dans l’air à Tunis : les élections municipales, les premières depuis la révolution de 2011 qui a mis fin à la dictature Ben Ali, n’auront pas lieu le 17 décembre comme prévu. L’Isie, l’instance chargée d’organiser les consultations électorales qui se disait pourtant prête à tenir le délai imparti, l’a annoncé après une réunion avec les partis politiques qui, dans leur majorité, ont demandé le report des municipales en raison de leur impréparation. Aucune date alternative n’a été arrêtée, même si celle du 25 mars 2018 a été suggérée. Des ONG de la société civile ont marqué leur déception.

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