Emmanuel Macron veut peser sur la négociation de coalition allemande
Avec le discours du président français sur l’UE mardi, et un sommet informel jeudi, les dirigeants européens ouvrent le débat reporté pour après l’élection allemande.


Dès lundi dans les milieux européens comme dans les 27 autres chancelleries, la question qui a le plus agité les conversations a été : la nouvelle configuration électorale et politique à Berlin aura-t-elle un impact négatif sur le débat européen, qui n’attendait que l’élection allemande pour être relancé ? Ce fut notamment le cas en marge d’un Conseil des ministres des Affaires européennes qui s’est penché sur le Brexit, dont le quatrième round de négociation s’ouvrait le même jour, et sur l’État de droit en Pologne. (Un simple « point d’information » sur le dialogue enlisé entre la Commission et Varsovie, où le président polonais Duda présentait au même moment sa version des deux projets de réforme de la justice, dont il avait bloqué les premières épures du gouvernement national-conservateur en juillet.)

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