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Un observateur de la langue en retrait

Portrait.

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Ex-journaliste au service Culture Temps de lecture: 3 min

Louis Chalon est né en 1938 à Liège et a grandi à Herstal. Il prend le nom d’emprunt « Cléante » le 15 juin 1987 lors de son premier billet “langagier” dans les colonnes du Soir. « Le personnage de Cléante apparaît dans plusieurs pièces de Molière. Dans l’une d’elles, c’est un homme posé, c’est comme ça que j’ai choisi ce nom. Il correspondait à mon rôle de conseiller sur l’orthographe. »

Comme celui dont il a emprunté le nom, Louis Chalon est calme et sage dans son propos. Même quand il explique son embrouille avec son confrère français décédé Jacques Capelovici dit Maître Capello.

Lecteur du journal depuis sa jeunesse, c’est spontanément qu’il s’est présenté au rédacteur en chef du Soir à la fin des années 80. « C’était la mode des chroniqueurs d’orthographe à l’époque. Beaucoup de titres francophones en avaient un. La rédaction a sauté sur l’occasion. »

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