La Belgique, ses amours et ses tracas, sous la plume des écrivains arabes
Entre récit et fiction, ils racontent leur vision de la société belge. Ces histoires drôles et touchantes traduisent leur amour ou leur incompréhension avec leur terre d’accueil. Ils présentent leur livre à Bozar ce mercredi 27 septembre.


Ils ont posé leur valise à Ostende, Bruxelles, Liège, Anvers, ou Leuven. Quelques-uns depuis vingt ans, d’autres depuis la crise en Syrie. Tous ont en commun d’être reconnus dans le monde arabe en tant qu’auteur édité à Casablanca ou à Beyrouth. Le poète et écrivain marocain Taha Adnan les a rassemblé pour un ouvrage collectif, Ceci n’est pas une valise paru aux éditions La croisée des chemins. « On se retrouve régulièrement entre écrivains d’expression arabe. On commence à être de plus en plus en Belgique, on s’échange des idées, on se demande des avis, des renseignements, on revoit l’actualité du monde arabe autour d’un verre ou d’un repas. J’ai vu cette dynamique et j’ai proposé d’écrire un texte narratif sur le pays. L’idée a rencontré un bon accueil chez les amis et on a commencé à écrire. »

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