Sur les assises, il faut «un véritable débat, voire un référendum»
Le procès devant les assises de Liège de Rita Henkinet, poursuivie pour l’assassinat de ses deux enfants lourdement handicapés, vient d’être fixé au 22 février. Le même jour sera examiné, devant la cour d’assises du Hainaut, le dossier de Bernard Wesphael. Et si la cour d’assises, dont les jours semblent comptés, avait disparu avant ces procès ?

D’un côté, le ténor carolo Jean-Philippe Mayence, un des avocats les plus réputés du pays, qui ne peut pas estimer le nombre de procès d’assises qu’il a à son actif – il ne les a jamais comptés. Il y a eu les amants diaboliques, il y a eu Cools, l’affaire Habran, Léopold Storme, des dizaines d’autres, et maintenant Bernard Wesphael.
De l’autre, le hutois Alexandre Wilmotte, 15 ans de moins et une trentaine de cours d’assises à son actif – le dossier Habran, celui de la « veuve joyeuse » Rita Bigattini, celui de Rita Henkinet prochainement.

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