Killarney Blues, une lueur d’espoir dans un océan de blues
Colin O’ Sullivan, inconnu au bataillon avant ce premier roman (on lui doit paraît-il de nombreuses nouvelles et des recueils de poésie), a un ton, un style et un univers.


Voilà à quoi ressemble Killarney à l’aube de ce siècle nouveau. Il y a des bagels. Et c’est le genre d’endroit dans lequel elles viennent prendre un café : un bistrot élégant, bien éclairé, minimaliste, avec des tableaux de bon goût sur les murs, des décorations végétales spectrales en forme de bâtons sur les tables et des fauteuils qui vous aspirent, des fauteuils qui vous vaudront des problèmes de vertèbres à terme mais qui sont paradisiaques le temps de ce bref répit, alors que les sacs de shopping lacèrent atrocement les bras fins. »
Colin O’ Sullivan, inconnu au bataillon avant ce premier roman (on lui doit paraît-il de nombreuses nouvelles et des recueils de poésie), a un ton, un style et un univers.

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