«On peut être dur et être humain...»
Victor Dreke, 80 ans, ancien lieutenant de Che Guevara au Congo, brosse un portrait très flatteur du « Guerrillero Heroico », qui illustre bien le culte dont il continue à jouir à Cuba.

Un martyr qui a donné sa vie pour l’auto-détermination des peuples opprimés ou un personnage de poudre et de sang, dogmatique et implacable ? Cinquante ans après la disparition de Che Guevara, les réponses sont totalement contradictoires, selon que l’élan du cœur porte vers La Havane ou Miami.
Dans la première direction, nous avons recueilli le témoignage de Victor Dreke, 80 ans, commandant en retraite, combattant de la première heure de la Revolución et cheville ouvrière des expéditions cubaines en Afrique. Il coudoya le Che au Congo ex-belge, d’avril à novembre 1965. Le portrait qu’il en brosse, largement hagiographique, illustre bien le culte dont le Guerrillero Heroico continue à jouir à Cuba.

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