CPI: les réseaux de l’ombre du procureur Ocampo
Sociétés offshore, attrait du gain, amitiés compromettantes : « Le Soir » et ses partenaires du réseau d’investigation European Investigative Collaborations (EIC) révèlent les pratiques cachées de celui qui fut le premier procureur de la Cour pénale internationale, l’Argentin Luis Moreno Ocampo.

M on salaire n’était pas suffisant », tente d’expliquer l’ancien procureur de la Cour pénale internationale (CPI), l’Argentin Luis Moreno Ocampo, 65 ans, qui estime que ses sociétés offshore ne regarderaient que lui. Et pourtant : attrait évident du gain, collaborations interpellantes avec des cibles potentielles de la Cour pénale, « pantouflage» auprès de riches et puissants amis, Le Soir et ses partenaires du réseau d’investigation European Investigative Collaborations (EIC) révèlent à partir d’aujourd’hui les pratiques cachées de celui qui fut de 2002 à 2013 le premier procureur de la Cour pénale internationale (CPI).

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
La pourriture est vraiment partout, rançon de l'ultra-libéralisme à outrance? Ils jouent tous avec le feu, un de ces quatre, ça va péter et ils auront encore le culot d'avoir l'air surpris