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Cour pénale internationale: Ocampo aimait se confier aux people

Pendant son mandat à la CPI, Ocampo aimait frayer avec la jet-set, quitte à gager son indépendance et celle de la Cour pénale internationale. Les stars, elles, voulaient « réparer le monde », sans grand succès.

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La plus glamour des conseillers de l’ombre du magistrat fut sans aucune doute Angelina Jolie, comme le révèlent les milliers de documents obtenus par Mediapart et analysés par le réseau EIC – dont fait partie Le Soir  : au printemps 2012, alors qu’il termine son mandat à la CPI, c’est à l’actrice qu’Ocampo demande conseil dans l’épineux dossier palestinien (trois ans plus tôt, Ramallah a réclamé une enquête sur les crimes de l’occupation israélienne) : « Mardi, je déciderai que le Bureau ne peut pas enquêter sur les allégations de crimes en Palestine, écrit le magistrat à la star américaine. Les responsables palestiniens comprennent et respectent ma décision. Les Israéliens sont aussi OK. La question est comment présenter cela aux personnes normales… »

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