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Etre ou ne pas être de bons parents

La pièce de Jessica Gazon et Thibaut Nève interroge la difficulté d’être parent dans une société qui accable les pères et les mères de diktats contradictoires. Par l’histoire d’un groupe de parole, « Les petits humains » tisse une comédie féroce et libératrice. Critique.

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Temps de lecture: 3 min

Aujourd’hui, il semble plus facile de décrocher un prix Nobel de physique pour la découverte des ondes gravitationnelles que d’accomplir un sans-faute dans son parcours de père ou de mère. Allaiter ? Oui, ça immunise l’enfant. Non, ça déforme les seins et réduit la femme en esclavage. Mettre son enfant en crèche ? Oui, ça le sociabilise. Non, ce sont les années les plus déterminantes que l’on passera avec son enfant. La fessée, les vaccins, l’école : chaque étape dans la vie d’un enfant porte son lot de principes contradictoires ou culpabilisants. Dormir avec son enfant, lui donner la tétine : chaque décision devient anxiogène, comme si, au moindre faux pas, l’enfant allait devenir délinquant ou terroriste.

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