Rajoy-Michel: un côte à côte au sommet européen très observé
Le chef du gouvernement espagnol mettrait les sorties critiques de Charles Michel sur le compte de ses « impératifs de coalition » avec ses indépendantistes à lui : la N-VA.


En jargon journalistique, on appelle cela les « door steps » : les arrivées des dirigeants politiques sur le lieu d’une importante rencontre politique, où ils font quelques déclarations à l’entrée. Nul doute, ce jeudi après-midi au bâtiment Juste Lipse où se déroulera le Conseil européen, que le « door step » de Charles Michel aura beaucoup de succès. En cause : ses déclarations récentes, en particulier dans Le Soir samedi dernier, sur la crise catalane et la réaction courroucée de Madrid révélée ce matin par le quotidien flamand Het Laatste Nieuws. Nos collègues y révèlent, sur base d’emails diplomatiques dont ils ont eu connaissance, que le gouvernement de Madrid a jugé « inacceptable »

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
monsieur Michel ferait beaucoup mieux de s'occuper de la Belgique et de son allié N-VA.
Monsieur Michel pourrait apprendrel les procédures de gestion de crise!
Monsieur Rajoy fait juste une petite erreur d'appréciation en évoquant , pour Monsieur Michel , des "impératifs de coalition" , il aurait plutôt du parler de " soumission de Monsieur Michel à la N-VA dans la coalition " ! Mais nous comprenons très bien qu'il veuille rester poli .