Tension avec Madrid? «Pas de quoi fouetter un chat»
Madrid n’a pas digéré les « sorties » de Charles Michel dans la crise catalane. Le Premier ministre persiste et signe. Et assure qu’il « n’y a pas de crise ni de bagarre ».


Le « Catalanexit » (exit… de l’Espagne) n’est pas encore un problème européen. Ce qui constitue, reconnaît Madrid, « la plus grave crise politique en 40 ans de démocratie espagnole », n’allait pas être pris à bras-le-corps par le sommet européen, ce jeudi soir. Parce que Mariano Rajoy, le chef du gouvernement espagnol, ne le veut pas. Et parce que le « club privé » d’Etats qu’est le Conseil européen, comme le qualifie Amadeu Altafaj, le représentant du gouvernement indépendantiste de Catalogne auprès de l’UE, fait montre jusqu’ici d’une solidarité sans faille envers un Rajoy aux prises avec des dangereux sécessionnistes « illégaux », comme le répètent à l’envi les autorités espagnoles.

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