Tobias Kratzer s’attaque à l’«opera seria» mozartien
C’est un peu l’enfant terrible de la mise en scène allemande qui débarque à Bruxelles pour monter « Lucio Silla », un opéra resté célèbre par la version suffocante de Patrice Chéreau à la Monnaie.

Natif de Munich, Tobias Kratzer étudie la philosophie et l’esthétique dans sa ville natale et à Berne, et la mise en scène à la Bayerische Theaterakademie August Everding. Ensuite, il se lance directement dans la mise en scène d’opéra. Ses Maîtres chanteurs de Nuremberg de Karlsruhe font date : il apparaît désormais comme le nouvel enfant terrible de la « theaterregie » allemande.
Avec Lucio Silla, il se confronte à un de ses premiers opéras intimistes. Avec une vision très claire de la place de cet « opera seria » de jeunesse dans son œuvre globale. A dix jours de la première, il nous explique les bases de son travail.

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