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Fats Domino était le plus discret des pionniers du rock

Le musicien louisianais est décédé ce mercredi à l’âge de 89 ans. Pianiste hors pair, il mêlait boogie-woogie, blues et ragtime. Il doit surtout sa gloire à tous ceux qui reprennent ses chansons.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 3 min

Après la mort ce printemps de Chuck Berry et celle de Fats Domino, ce mercredi, il y en a deux qui doivent se sentir bien seuls : Jerry Lee Lewis et Little Richard… Les deux derniers survivants du rock’n’roll des années 50 !

De tous les pères du rock, Antoine « Fats » Domino, décédé ce mercredi à son domicile de La Nouvelle-Orléans, était sans doute le plus discret, le plus oublié aussi. Son talent et son importance dans l’histoire de la musique sont pourtant réels. Mais sa discrétion et sa gentillesse naturelles de bon gros souriant (d’où son surnom de « Fats ») ont fait qu’il n’a jamais rejoint, au panthéon des mythes, les légendaires Elvis Presley, Buddy Holly, Eddie Cochran, Richie Valens et Gene Vincent… qui n’ont pas fait de vieux os.

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