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Au procès Merah, deux mères, entre émotion et dégoût

Abdelkader Merah répond de complicité pour les attentats de son frère en 2012. La mère de l’accusé et celle d’une victime symbolisent à elles seules un face-à-face intenable entre le box et les parties civiles. Mais la justice se soucie davantage des preuves que du cœur.

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Envoyée permanente à Paris Temps de lecture: 8 min

PARIS

De notre envoyée permanente

Cheveux longs noués dans un catogan, Abdelkader Merah caresse sa barbe et s’appuie sur ses coudes en observant son procès à travers la vitre du box de la cour d’assises spéciale de Paris. C’est une glace transparente, bien sûr. Mais une glace vers laquelle les familles des sept victimes de Mohamed Merah ne se tournent même plus. Car c’est aussi un film opaque. D’où ne semblent vouloir sortir ni la vérité ni les regrets.

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2 Commentaires

  • Posté par Serge Vandeput, jeudi 26 octobre 2017, 15:39

    Ce Vivre Ensemble est une grande tromperie.

  • Posté par ALEXANDRE STARK, jeudi 26 octobre 2017, 15:35

    TENEZ BON . LA PERPETTE ARRIVE BIENTÔT . DE TOUT CŒUR AVEC LES VICTIMES .

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