La mémoire d’Anne Frank, plus vivante que jamais
Fabrice Gardin met en scène une version du « Journal d’Anne Frank » qui s’éloigne du mythe pour creuser au plus près de l’humain. On y vit deux heures de captivité et pourtant, on en ressort le cœur aéré. Un effet peut-être des larmes qui ouvrent quelques vannes.

Traduit dans 70 langues et vendu à plus de 30 millions d’exemplaires, Le journal d’Anne Frank est devenu un exemple, un symbole. On connaît peu d’élèves sortis des humanités qui n’ont pas lu cet épisode édifiant de la Seconde Guerre Mondiale. Certains sont même allés jusqu’à Amsterdam visiter la fameuse « Annexe », située sur le Prinsengracht, où la jeune fille juive a vécu cachée, avec ses proches, de juin 1942 à août 1944, avant d’être arrêtée – sans doute suite à une dénonciation – et déportée. Quelques mois plus tard, Anne Frank mourra du typhus, comme sa sœur Margot, dans un camp de concentration. Au fil des années, son nom est devenu objet de mémoire. Son histoire est devenue un bout de la grande Histoire. Ses écrits sont devenus une leçon dans la lignée du « plus jamais ça ! »

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