Accueil Culture Scènes

La mémoire d’Anne Frank, plus vivante que jamais

Fabrice Gardin met en scène une version du « Journal d’Anne Frank » qui s’éloigne du mythe pour creuser au plus près de l’humain. On y vit deux heures de captivité et pourtant, on en ressort le cœur aéré. Un effet peut-être des larmes qui ouvrent quelques vannes.

Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 3 min

Traduit dans 70 langues et vendu à plus de 30 millions d’exemplaires, Le journal d’Anne Frank est devenu un exemple, un symbole. On connaît peu d’élèves sortis des humanités qui n’ont pas lu cet épisode édifiant de la Seconde Guerre Mondiale. Certains sont même allés jusqu’à Amsterdam visiter la fameuse « Annexe », située sur le Prinsengracht, où la jeune fille juive a vécu cachée, avec ses proches, de juin 1942 à août 1944, avant d’être arrêtée – sans doute suite à une dénonciation – et déportée. Quelques mois plus tard, Anne Frank mourra du typhus, comme sa sœur Margot, dans un camp de concentration. Au fil des années, son nom est devenu objet de mémoire. Son histoire est devenue un bout de la grande Histoire. Ses écrits sont devenus une leçon dans la lignée du « plus jamais ça ! »

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Scènes

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs