L’art d’accommoder les restes
Avec « The green inferno », Eli Roth redonne un peu de sang neuf à un genre qu’on croyait mort

Tel un chevalier Jedi à l’esprit fatigué par une longue vie de rectitude, le 7e Art bascule de temps en temps du côté obscur. Il y a une trentaine d’années, on vit ainsi proliférer un sous-genre très particulier de l’horreur : le film de cannibales. Un cinéma d’exploitation dont on prête en général la paternité à l’Italie. Normal après tout pour un pays dont la cuisine est indissociable de la culture.

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