La crise catalane met un peu d’eau dans le gaz diplomatique
En s’invitant à Bruxelles, le président catalan déchu Carles Puigdemont embarrasse le gouvernement belge et espagnol.


Si les ambassades, leurs diplomates et les conseillers diplomatiques devaient prouver leur utilité, même dans les relations entre pays aussi proches que des États membres de l’Union européenne, nul doute qu’ils l’ont fait dans l’épisode que traversent les relations hispano-belges. Un épisode qui a démarré le jour du « référendum » d’indépendance, le dimanche 1er octobre. Réagissant alors à la vue des images télévisées des forces de police tentant d’empêcher le déroulement du scrutin, le Premier ministre belge se fend d’un tweet – en anglais – indiquant : « La violence ne peut jamais être la réponse ! Nous condamnons toutes formes de violence et réaffirmons notre appel au dialogue politique. »
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