Accueil Monde Europe

À Bruxelles, Carles Puigdemont choisit l’exil politique dans une certaine équivoque

Le ministre-président catalan déchu assure qu’il respectera le résultat des élections convoquées le 21 décembre par Madrid. Décodage de sa déclaration en quatre points.

Article réservé aux abonnés
Chef du service Monde Temps de lecture: 6 min

Depuis lundi après-midi et la rumeur de son arrivée à Bruxelles, on savait que le président destitué du gouvernement catalan Carles Puigdemont allait s’exprimer face à la presse européenne. Pressentie d’abord pour l’après-midi même, peut-être même dans les locaux, ou au moins en compagnie de représentants de la N-VA, la sortie publique des dirigeants catalans a finalement été repoussée à ce mardi 12 h 30. Le lieu a fait l’objet de tous les mystères. Une bonne partie de la matinée toutefois.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

5 Commentaires

  • Posté par Alberto Martinez, mercredi 1 novembre 2017, 10:21

    Il a détruit la Catalogne et maintenant est venu à détruire la Belgique.

  • Posté par Bernard Dropsy, mardi 31 octobre 2017, 20:26

    Vanhaelen Christine, tirer les ficelles depuis Bruxelles au nez et à la barbe de Madrid, bof ! On est habitué à ce genre en Belgique, on tire bien les ficelles depuis Anvers au nez et à la barbe des honnêtes citoyens !

  • Posté par Dubois Jeannine, mardi 31 octobre 2017, 20:05

    Quand Puigdemont et ses ministres rentrent-ils à Madrid pour répondre à la Justice espagnole ? Sinon, on les met dans des cars blindés, direction Espagne. Et qu'on finisse de parler de cet homme et que Belgique et Europe s'en tiennent à leurs devoirs de respect des institutions, madrilènes comme les autres !

  • Posté par Vanhaelen Christine, mardi 31 octobre 2017, 18:39

    Que d'ambiguïtés...Dans le positionnement personnel de Puigdemont, pour commencer : on met le bordel en Catalogne, puis en Espagne, on se tire vite fait quand ça tourne à l'aigre et on vient semer le désordre en Belgique et à l'Europe... Quelles sont exactement les intentions de Mister P. en débarquant ici avec la moitié de son gouvernement ? Le sait-il lui-même ? La Belgique est-elle prête à accepter qu'un gouvernement en exil tire les ficelles depuis Bruxelles, au nez et à la barbe de Madrid et de l'Union ? Que Puigdemont dégage (l'Équateur est un très beau pays, même si on n'y parle pas catalan) et laisse la place à Santi Vila, son "économiste en chef", resté en Catalogne, lui. Et qui a nettement plus de plomb dans la tête...

  • Posté par Burniat Walter, mardi 31 octobre 2017, 18:03

    Bousculade grotesque de "journalistes" dans une arène qui n'est pas celle d'un glorieux toréador, mais d'un Puigdemont dépassé par son destin politique...

Aussi en Europe

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs