Erdogan, le Bonaparte turc, fait le ménage dans son parti
En Turquie, l’agitation a gagné les rangs de l’AKP. Obnubilé par les élections de 2019, le président Erdogan procède à un grand nettoyage dans son parti. Sa première cible : les maires, qu’il oblige à démissionner.

Depuis Istanbul
Les uns après les autres, ils tombent comme les feuilles mortes. Istanbul, Düzce, Nigde, Bursa, Ankara samedi, Balikesir ce lundi… Six maires de grandes villes turques, élus du parti au pouvoir, ont démissionné depuis mi-septembre. Démissionnaires, démissionnés, démis par Recep Tayyip Erdogan, chef de l’Etat et de l’AKP (Parti de la justice et du développement).

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Il démissionne ?