Cancer: une recherche de l’UCL va doper l’immunothérapie
L’équipe du professeur Van den Eynde a identifié les cellules qui empêchent l’immunothérapie de fonctionner à tous les coups. Il y a un espoir que cette technique fonctionne parfaitement chez une majorité de patients atteints du cancer.


C’est une histoire de petits soldats, en principe chargés de liquider les cellules anormales, mais qui passent l’arme à gauche avant d’avoir pu agir. La métaphore, certes simpliste, permet d’expliquer pourquoi le traitement de cancers par immunothérapie ne fonctionne pas (encore) chez une majorité de patients : seul un tiers à un quart des malades répond bien à cette méthode. Si on parle aujourd’hui c’est parce qu’une équipe de l’UCL – dirigée par le professeur Van den Eynde – annonce dans un article de la revue Nature Communication parue ce vendredi, qu’elle a identifié les causes du décès prématuré des sentinelles, dopant du même coup les espoirs de voir l’immunothérapie devenir « le » traitement majeur du cancer.

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