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Survol de Bruxelles, pacte énergétique : ne pas décider ne peut tenir lieu de politique

Il arrive un moment où ne pas décider n’est tout simplement plus tenable.

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Journaliste au service Economie Temps de lecture: 3 min

Gagner du temps. Si tel n’est pas l’objectif du ministre de la Mobilité, François Bellot, dans le cadre du survol de Bruxelles, cela y ressemble fortement. Si tel n’est pas l’objectif de la ministre de l’Energie, Marie-Christine Marghem, s’agissant de l’avenir énergétique du pays, cela y ressemble également fortement. L’impression qui ressort n’est-elle pas que l’échéance est, sans cesse, reportée ?

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3 Commentaires

  • Posté par Lambotte Serge, mardi 28 novembre 2017, 20:40

    On ne va quand même pas prendre des décisions qui pourraient mécontenter certains à deux pas des élections!

  • Posté par Bastien Jean-jacques, mardi 28 novembre 2017, 13:14

    Ce n'est pas une question de responsabilité puisqu'on ne peut plus en prendre dans ce système fédéral inabouti. C'est le système institutionnel belge qui ne permet plus de prendre de décisions stratégiques pour le pays

  • Posté par Serge Vandeput, mardi 28 novembre 2017, 12:02

    Le bruit des avions? Sortie du nucléaire? Et pourquoi le sexe des anges?

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